[2018] CFIA / Produits laitiers : Quelle solution de marquage choisir ?
Nomades, simples à transporter ou «portionnables», les nouvelles façons de consommer des Français obligent les industriels à adapter leur offre en développant de nouvelles offres. Ainsi, dans le domaine des boissons lactées, l’utilisation des emballages souples a fortement augmenté. En un an, le marché des sachets «stand-up» est ainsi passé d’un peu plus de 16,1 millions à quasi 21 millions. …
Nomades, simples
à transporter ou «portionnables», les nouvelles façons de consommer des Français obligent les industriels à adapter leur offre en développant de nouvelles offres. Ainsi, dans le domaine des boissons lactées, l’utilisation des emballages souples a fortement augmenté.
En un an,
le marché des sachets «stand-up» est ainsi passé d’un peu plus de 16,1 millions à quasi 21 millions. Même scénario concernant les packs de lait de type «brique classique» qui cèdent du terrain face aux «briques à toit pointu» et bouchons à vis. Quant aux traditionnelles bouteilles en verre, jugées peu pratiques et trop lourdes, elle sont peu à peu remplacées par des bouteilles en HDPE (polyéthylène haute densité).
De nouveaux défis pour les imprimantes
Afin de suivre cette évolution, les imprimantes doivent désormais coder sur une grande variété de substrats et s’adapter aux différents formats de packaging. De plus, les équipements de marquage doivent répondre aux exigences d’exactitude et de propreté du secteur laitier.
«C’est un environnement difficile, confirme Rodolphe Ferment, ingénieur commercial chez Linx. Souvent, les machines doivent fonctionner dans une atmosphère froide et humide voire poussiéreuse (lait en poudre). Il peut également y avoir des projections lors des lavages à grande eau. C’est pourquoi nous orientons en général nos clients vers un codeur avec un indice de protection IP55 voire IP65».
Choisir un équipement bien adapté
Si, dans le secteur des produits laitiers, les codes sont rarement complexes – dates de péremption et numéros de lot – la vitesse des lignes de production peut atteindre plusieurs centaines de produits par minute, ce qui nécessite une machine qui imprime très rapidement et correctement. Selon une étude réalisée par Ernst & Young, 58% des industriels des produits alimentaires et boissons déclarent avoir dû rappeler des produits au cours des cinq dernières années.
La qualité de l’impression se doit donc d’être constante, quels que soient le substrat et l’espace disponible sur l’emballage. «Le choix d’un équipement bien adapté fait toute la différence, conforme Rodolphe Ferment.
Par exemple, des machines présentant une interface graphique simple d’emploi permettent de réduire le risque d’erreur et d’accélérer les changements de ligne ou de produit. Pour répondre aux exigences des industriels et renforcer la traçabilité des produits, nous conseillons souvent l’ajout d’une douchette (scanner) qui minimise les risques d’erreur liés à la ressaisie.
Il est aussi possible de mettre en réseau l’ERP du client afin que les données arrivent directement à l’imprimante».
Le jet d’encre, une solution flexible
C’est pourquoi, il est conseillé aux industriels du secteur laitier de choisir un équipement de codage flexible imprimant sur une grande variété de substrats et de packaging.
«Si le code doit être imprimé suivant différents angles – d’en haut, de côté ou d’en bas – une tête d’impression fonctionnant quelle que soit l’orientation représente un véritable avantage» précise Rodolphe Ferment. La solution jet d’encre se distingue ainsi par sa grande flexibilité. Elle s’adapte aux différents substrats grâce
à sa large gamme d’encres et elle est particulièrement résistante dans les environnements difficiles : poussière, eau, humidité.
«L’avantage des imprimantes de la série 8900 de chez Linx, c’est qu’elles offrent la possibilité de pré- enregistrer une cinquantaine de lignes, rappelle Rodolphe Ferment. Ce qui permet de les déplacer d’une ligne à une autre sans avoir besoin de les paramétrer à nouveau».
Le laser se caractérise lui aussi par une certaine souplesse puisqu’il permet de coder sous différents angles. «Le laser offre la possibilité de marquer des codes plus complexes à des cadences plus rapides, conforme Rodolphe Ferment. Si son coût d’investissement est plus important, les coûts d’utilisation, sont eux moins élevés que pour du jet d’encre.
En revanche, compte tenu de son intégration sur la ligne et des problématiques de sécurité, il est plus compliqué de le déplacer».
«Rapidité, fiabilité, flexibilité et sécurité sont les quatre arguments à prendre en considération avant de se lancer dans l’achat de sa solution de marquage. Dans le secteur des produits laitiers, cet équipement devra être résistant au nettoyage, fiable et surtout flexible afin de vous offrir la polyvalence dont vous avez besoin dans votre métier » conseille le représentant de chez Linx.
Linx sera présent au CFIA de Rennes les 13,14 et 15 mars, Hall 3 – Stand C23
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