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60 millions de consommateurs dénonce les dérives d’une alimentation ultratransformée

«Ces aliments qui nous empoisonnent (2018) » telle est la thématique du Hors-série de 60 millions de consommateurs à paraître en mai prochain. «Pauvres en matières premières brutes (légumes, fruits, lait, viande…) mais riches en additifs, ils regorgent d’ingrédients à bas coût, dénaturés pour leurrer notre goût. Sel, sucre et graisses combinés stimulent les pics de glycémie, entraînant des …

60 millions de consommateurs dénonce les dérives d’une alimentation ultratransformée
Dans le prochain hors série de 60 millions de consommateurs, le magazine décrypte les ingrédients de 100 denrées alimentaires.

«Ces aliments qui nous empoisonnent (2018) » telle est la thématique du Hors-série de 60 millions de consommateurs à paraître en mai prochain. «Pauvres en matières premières brutes (légumes, fruits, lait, viande…) mais riches en additifs, ils regorgent d’ingrédients à bas coût, dénaturés pour leurrer notre goût. Sel, sucre et graisses combinés stimulent les pics de glycémie, entraînant des réactions addictives» écrit la rédaction qui donne le ton.
Pesticides, additifs, sucres cachés, toxiques, pas toxiques… le magazine décrypte ainsi les ingrédients de 100 denrées alimentaires. «Pour aider les consommateurs à faire le tri, nous avons répertorié les 50 additifs à proscrire, avec un aide-mémoire à conserver précieusement» explique la rédaction. Sont montrés du doigt, les légumes déshydratés «où il n’y a que 0,4 % de légumes déshydratés. Pour leur donner un semblant de saveur et de texture, pas moins de 12 additifs ont été incorporés», en passant par le petit déjeuner, des «bombes à sucre», les yaourts riches en additifs etc… 60 millions de consommateurs évoque par ailleurs l’étude internationale publiée début 2018 dans le British Medical Journal, où une association a été faite entre nourriture ultratransformée et risque de cancer.
«Une augmentation de 10% de la proportion d’aliments ultratransformés dans le régime alimentaire s’est révélée être associée à une augmentation de plus de 10% des risques de développer un cancer au global et un cancer du sein en particulier», a précisé l’Inserm, dont les chercheurs ont participé à l’étude.

ParLa rédaction
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