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Israël veut devenir une patrie du vin

Le vin israélien n'est pas très connu et pourtant sa qualité n'est plus à prouver et son histoire remonte aux origines du monde. Times of Israel s'est penché sur la question.

Israël veut devenir une patrie du vin
En Israël aussi il se produit du vin, et cela depuis toujours. Aujourd’hui les vignerons locaux veulent démontrer sa qualité et pourquoi pas l’exporter.

Du vin, il s’en est toujours produit dans cette région du monde, depuis des millénaires mais on n’y prêtait pas vraiment attention, on n’était incapable de citer un grand cru ou de parler de ses arômes. Et pourtant, il s’en fait de l’excellent, c’est ce que veulent prouver les viticulteurs israéliens, dans Times of Israël, c’est Eran Pick qui parle de son vin.

Passé par le bordelais et les Etats-Unis, Eran Pick est un professionnel du vignoble, attaché à ses terres historiques, celles de Judée-Samarie qui s’est formé en France, dans le bordelais et aux Etats-Unis. Le secteur viticole israélien rapporte entre 300 et 350 millions de dollars par an, avec à sa tête le titan Carmel.

Times of Israël que des petits domaines qui produisent moins de 100 000 bouteilles par an, ont commencé à apparaître il y a une vingtaine d’années, s’inspirant de l’art de la table… français ! Avec environs 350 vignobles, le petit Etat du Moyen-Orient n’a presque plus rien à prouver aux géants du domaine.Un autre avantage est à pointer du doigt : ils détiennent le marché du vin casher, un vin soumis à la législation religieuse en vigueur en Israël et consommé par tous les juifs pratiquants mais aussi tous ceux qui voudront le boire.

Quid du vin casher ?

De qualité et qui s’exporte, le vin casher offre des perspectives de marché, lui aussi. Dans les colonnes de Times of Israël, on découvre l’Histoire de la famille Flam, qui dirige depuis 1998 un vignoble qui produit jusqu’à 100 000 bouteilles par an !

« Nous voulons faire connaître le goût du bon vin aux Israéliens », a confié Gilad Flam au Times of Israël. L’homme ne fait rien à moitié. Il propose des dégustations de vin casher accompagnées de leur plateau de fromages. Le site nous rapporte néanmoins que les Isaréliens consomment moins de 7 litres par an et par personne, assez peu mais ils ne veulent pas lésiner sur la qualité. Et si on le testait le cru casher de Monsieur Flam ?

ParLa rédaction
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