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Je mange, je pollue.

Selon une étude menée par le cabinet Greenext, spécialisé dans le calcul de l’impact écologique des produits de grande consommation, l’impact carbone de chaque individu varierait selon son régime alimentaire. L’alimentation représenterait même 16% du bilan carbone global.

Selon une étude menée par le cabinet Greenext, spécialisé dans le calcul de l’impact écologique des produits de grande consommation, l’impact carbone de chaque individu varierait selon son régime alimentaire. L’alimentation représenterait même 16% du bilan carbone global. L’enquête, réalisée en partenariat avec le Centre de recherches pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) confirme que les régimes présentant le plus de protéines animales sont ceux qui rejettent le plus de CO2 :

  • Régime moyen d’un adulte : 1 524 kg de CO2/an ;
  • Régime théorique végétarien : 966 kg de CO2/an ;
  • Régime théorique conforme aux prescriptions nutritionnelles : 1 339 kg de CO2/an ;
  • Régime hyper-protéiné : 3 537 kg de CO2/an.

Vous souhaitez faire un geste pour la planète mais refusez de vous séparer de votre steak saignant ? Pensez aux produits Bleu Blanc Cœur (BBC). Le ministère de l’Ecologie a référencé la méthode BBC d’alimentation des vaches aux graines de lin, riches en oméga-3, qui influe sur les d’acides gras présents dans le rumen, et par conséquent sur la flore du système digestif. Ce régime est défavorable aux bactéries méthanogènes et réduit ainsi les émissions de méthane entérite.

ParLa rédaction
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