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Volaille : Doux n’est pas à vendre

Arnaud Marion, président du directoire du groupe Doux, qui a fait l’objet d’un redressement judiciaire, a réaffirmé que le groupe n'était pas à vendre, mais évoque des alliances.

Volaille : Doux n’est pas à vendre
Le groupe Doux occupe la troisième place mondiale en termes d’exportations de poulets avec 200 000 tonnes par an.

Le groupe Doux n’est pas à vendre, mais il est ouvert à des alliances avec des acteurs français et étrangers, a affirmé Arnaud Marion, directeur en charge du redressement du groupe, alors que des rumeurs évoquaient en début de semaine le rachat du groupe volailler par deux entreprises brésiliennes.

Remontée de cours favorable à Doux

« Le groupe Doux est ouvert, il est ouvert à des alliances, il est ouvert à des adossements, il est ouvert à des discussions », a-t-il en revanche précisé. Le groupe, qui se redresse progressivement, profitant de la remontée des cours des volailles. Il attire désormais un certains nombre d’opérateurs.

ParLa rédaction
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