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En Grande et Moyenne Surface, le snacking a la cote

Fort dynamique, le marché du snacking reste une valeur sûre pour le secteur agroalimentaire. En Grande et Moyenne Surface (GMS), de belles perspectives sur ce secteur sont à prévoir comme le confirme une étude du journal Les Echos publiée en novembre 2016, confirmée par le journal ZePro Snacking. Selon ce dernier, en effet, la pause déjeuner en GMS se …

En Grande et Moyenne Surface, le snacking a la cote
L’étude du journal Les Echos, publiée en novembre 2016, annonce un marché du snacking « qui superforme l’alimentaire en GMS »

Fort dynamique, le marché du snacking reste une valeur sûre pour le secteur agroalimentaire. En Grande et Moyenne Surface (GMS), de belles perspectives sur ce secteur sont à prévoir comme le confirme une étude du journal Les Echos publiée en novembre 2016, confirmée par le journal ZePro Snacking.
Selon ce dernier, en effet, la pause déjeuner en GMS se positionne «comme une concurrente redoutable sur le marché de la restauration rapide.
En effet, l’offre y est variée, peu onéreuse, toujours plus pratique et nomade, et sa qualité s’améliore». Le journal explique que grâce à ses packagings transparents, véritables indicateurs de naturalité, le consommateur est rassuré sur la fraîcheur du produit. « Constituée de salades-repas, salades-encas, sandwichs, box, soupes froides et desserts individuels, la pause déjeuner représente aujourd’hui 17 % du CA du rayon traiteur, kiosques à sushis inclus.
C’est d’ailleurs son segment le plus dynamique avec 7,6 % de croissance, selon les données Nielsen » explique ZePro Snacking qui précise que « ce rayon est porté par les marques nationales (+ 12,7 %), fortes et reconnues, alors que les MDD accusent un retrait de 4,6 %. Ce sont les salades-repas qui enregistrent la plus forte progression, hors promotion ».
De son côté, l’étude du journal Les Echos annonce un marché du snacking « qui superforme l’alimentaire en GMS » avec 7,4 milliards d’euros, soit une augmentation de 4,5%. L’étude laisse apparaître un « match serré entre snacks ambiants et snacks frais », le premier représentant 46% du marché snacking en GMS, 44% en snack frais et 10% en snack surgelès. Le snacking est « surreprésenté en surgelé » avec 20,8% du marché surgelé en GMS indique le journal Les Echos contre 14% en ambiant, 12,6% en alimentaire et 10,5% en frais.
Les snacks salés représentent 59% du marché snacking en GMS, et 91% sont des snacks froids. Toujours selon cette étude, l’apéritif est le premier moment de consommation des produits snacking. Enfin, il apparaît que les snacks traiteurs salés et les snacks fromagers capteraient 46% du marché snacking frais, suivi par les snacks traiteur de la mer et les snacks ultra frais.

ParLa rédaction
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