
L’imbroglio autour des offres de reprise des abattoirs normands AIM
Rien ne va plus chez AIM ! Les repreneurs viennent... et repartent. En attendant, c'est toujours le flou pour les salariés de l'abattoir.
Rien ne va plus chez AIM ! Les repreneurs viennent... et repartent. En attendant, c'est toujours le flou pour les salariés de l'abattoir.
Les salariés des abattoirs de la Manche (AIM) en difficultés sont venus manifester devant le ministère de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire qui les a reçus. En cause : un redressement judiciaire qui n’augure rien de bon.
On en est encore au stade de la rumeur mais il semblerait que deux repreneurs soient en passe de déposer - ensemble - un dossier pour le sauvetage des abattoirs AIM.
Nous vous en parlions hier, les abattoirs industriels de la Manche sont placés en redressement judiciaire avec une mise à l'épreuve de 6 mois.
Les abattoirs AIM se dirigent vers la voie du redressement judiciaire, la décision sera connue ce 6 janvier.
La CA Holding s'est déclarée candidate à la reprise de La Lauragaise (ex-Spanghero). Le tribunal de commerce de Perpignan se prononcera à ce sujet le 30 juillet.
Le seul repreneur potentiel de la Lauragaise, ex-Spanghero, aujourd'hui en redressement judiciaire serait l'entreprise Loste
Reprise il y a moins d'un an par son fondateur, au sortir du scandale de la viande de cheval, La Lauragaise (ex-Spanghero) va demander son placement en redressement judiciaire.
Alors que jeudi, date limite pour le dépôt d’offres de reprise du volailler Doux, sept repreneurs s’étaient manifestés, quatre autres sont venus grossir les rangs des acquéreurs potentiels depuis. Ainsi, les candidats au rachat sont :
Selon une information de Ouest France, l'administrateur judiciaire de Doux aurait annoncé aujourd'hui la mise en vente du volailler, suite à son placement en redressement judiciaire.
Les Echos ont annoncé en fin de semaine dernière qu’un accord bancaire avait été trouvé pour sauver le groupe Doux.
Suite au dépôt de bilan de Doux, le gouvernement est mobilisé pour sauver l’entreprise et la filière avicole dans sa globalité. Le ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire, Stéphane Le Foll, a ainsi mis en place une cellule d’appui …
Depuis l’annonce surprise pour le gouvernement du dépôt de bilan du groupe Doux, décidé unilatéralement par son dirigeant, Charles Doux, rien ne va plus entre la nouvelle direction du volailler et le ministre du Redressement productif.
Les délégués syndicaux FO, CFDT et CGT se sont déclarés « abasourdis », suite au Comité Central d’Entreprise (CCE) du groupe Doux qui s’est tenu hier, mardi 5 juin. Ils ont d’ailleurs quitté la réunion avant son terme, en milieu d’après-midi.
Alors que le groupe Doux a été placé en redressement judiciaire, les éleveurs travaillant pour le volailler étaient très inquiets quant à leur avenir.
Alors que le groupe Doux avait déposé jeudi 31 mai une déclaration de cessation de paiement auprès du tribunal de commerce de Quimper, il a finalement été placé en redressement judiciaire le lendemain pour une péri
Après plusieurs jours d’incertitude, le sort du volailler Doux est sur le point d'être connu. Ainsi, le tribunal de commerce de Quimper a bel et bien enregistré hier soir une « déclaration de cessation de paiement » de la …
Comme nous vous le disions dans notre article du 29 mai, le volailler Doux est sous la menace d’un redressement judiciaire. Le verdict devrait être annoncé aujourd’hui.
Si le mot « caddie » est utilisé de façon très courante pour désigner le chariot de supermarché, il s’agit avant tout d’une société qui fournit 70% des besoins français. Ce véritable symbole de la consommation subit aujourd’hui un …
Selon une dépêche AFP, l’entreprise agroalimentaire spécialisée dans la production de volailles et lapins à destination des grandes et moyennes surfaces, Les Volailles du Périgord, a été placée en redressement judiciaire la semaine dernière.
Vous êtes hors ligne