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L’état d’urgence est réclamé dans les ports bretons.

Bloqués depuis la mi-janvier par les dockers et grutiers, les ports de commerce bretons menacent l’économie du secteur agroalimentaire. Dépendantes des exportations et importations, de nombreuses entreprises risquent de voir leur équilibre menacé suite au ralentissement des activités de certains ports

Bloqués depuis la mi-janvier par les dockers et grutiers, les ports de commerce bretons menacent l’économie du secteur agroalimentaire. Dépendantes des exportations et importations, de nombreuses entreprises risquent de voir leur équilibre menacé suite au ralentissement des activités de certains ports, avec par exemple des ruptures en matières premières. Le Collectif pour la libération des ports de commerce bretons est excédé des grèves à répétition. Hervé Vasseur, président de l’association des fabricants d’aliments du bétail (AFAB) et porte-parole du collectif s’indigne « En un an, les pertes sont de l’ordre de 52 millions d’euros ». L’état d’urgence a été réclamé auprès du Premier ministre. La région Bretagne a également été sollicitée, mais refuse d’engager une force armée pour gérer un conflit social.

ParLa rédaction
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