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Les professionnels de l’élevage réunis autour de la menace du virus de Schmallenberg.

A l’initiative de Bruno le Maire, le ministre de l’Agriculture, les professionnels de l’élevage se sont réunis pour faire le point sur le virus de Schmallenberg. Etant donné que ce dernier est un virus nouveau, toutes les précautions ont été prises par les services de l’Etat depuis sa détection.

A l’initiative de Bruno le Maire, le ministre de l’Agriculture, les professionnels de l’élevage se sont réunis pour faire le point sur le virus de Schmallenberg. Etant donné que ce dernier est un virus nouveau, toutes les précautions ont été prises par les services de l’Etat depuis sa détection. Ainsi, le Réseau français de santé animale (RFSA) a tenu de nombreuses réunions au cours desquelles des projets de recherche prioritaires ont été identifiés et des financements ont été recherchés.

Bruno Le Maire a chargé l’ANSES de valider l’ensemble des tests diagnostics nécessaires d’ici la fin du mois. L’agence nationale de sécurité sanitaire des aliments sera en outre chargée d’identifier les mécanismes de protection des animaux et d’évaluer l’avancée de l’épidémie. Néanmoins, il faudra attendre la fin de la période de mise bas pour faire une première évaluation de l’impact de la maladie.

Le ministre a aussi demandé aux professionnels de l’élevage de concrétiser leurs propositions de fonds de mutualisation sanitaire, qui aura pour objectif d’indemniser les éleveurs les plus touchés par le virus.

Enfin, la France continue à considérer que les barrières aux échanges dressées par les autres pays, comme l’embargo russe, sont injustifiées.

 

Pour en savoir plus sur le virus de Schmallenberg, n’hésitez pas à consulter notre interview exclusive d’un chercheur au Cirad.

 

Source : agro-media.fr avec le communiqué du Ministère de l’Agriculture.

ParLa rédaction
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