Hygiène alimentaire : E. coli, salmonelle, cronobacter, listeria, des bactéries enfin vaincues !

La maîtrise des risques sanitaires sans impacter la sécurité alimentaire est un enjeu de taille pour tout industriel du secteur agroalimentaire.
Pour assurer une hygiène parfaite dans ses procédés industriels, le respect du processus de sûreté passe automatiquement par le nettoyage et la désinfection des zones tout au long de la chaîne de production. Cette étape primordiale et incontournable dans l’industrie agroalimentaire doit permettre la suppression de germes résistants, tout en garantissant la sécurité de l’opérateur
ainsi qu’un produit fini sans danger pour le consommateur. C’est pourquoi le traitement des zones de conditionnement ,
des salles blanches et ou, des zones particulièrement sensibles en agroalimentaire, mérite une attention particulière en matière d’hygiène et donc du processus de nettoyage et désinfection.

Parce que l’on ne désinfecte que ce qui est propre, la mise à gris et la mise à blanc sont deux étapes nécessaires, complémentaires et distinctes dans le nettoyage et la désinfection. Elles s’effectuent avant la remise en production et les tests de conformité selon un protocole bien défini assurant ainsi l’efficacité du résultat et sa répétabilité.

Après une évacuation des déchets de la zone de production (balayage, aspiration, dépoussiérage, etc.), la mise à gris consiste à nettoyer les surfaces (outils de production, murs, sols, etc.), par un traitement de détergence comme peut le faire la vapeur.

Elle permet de préparer les surfaces et de garantir l’efficacité de la mise à blanc effectuée par la suite. Ces nettoyages préliminaires sont donc impératifs.

Pour cette mise à gris, le dispositif Sanivap d’Oxy’Pharm est une solution de bio-nettoyage vapeur, certifié ISO 13485:2016 et NF T72-110 (bactéricide, fongicide, levuricide, sporicide et virucide incluant les bactériophages).

La gamme SP Sanivap a une consommation d’eau diminuée comparée à un traitement de détergence classique. Avec ce procédé, il est inutile de rincer comme il faudrait le faire avec un détergent chimique. Utilisée sur une fin de chaîne de production par exemple (conditionneuse, thermoscelleuses, ou encore peseuses associatives), cette solution est simple et bien plus efficace qu’un nettoyage de routine.

En effet, dans une étude de cas présentée par Oxy’Pharm, selon des résultats analysés via un prélèvement ATP mètre, pour un suivi de nettoyage sur une peseuse associative de manièremanuelle,lessurfacesàdécontaminer restaientdel’ordrede0,6à1,2pg/cm2,alors qu’un nettoyage vapeur sur cette même machine et surfaces indiquait des résultats de surface propre de l’ordre de 0,1 à 0,5 pg/cm2.

Cette mise à gris de la zone de production est à compléter de la mise à blanc qui consiste à une opération de désinfection terminale. Elle permet de traiter toutes les surfaces accessibles : sols, murs, plafonds et l’ensemble des outils de production. Elle est essentielle à une remise en production.

Pour cette opération, la solution Nocotech d’Oxy’Pharm propose une bio-désinfection automatisée par voie aérienne dont l’efficacité est bactéricide, fongicide, levuricide, mycobactéricide, tuberculocide sporicide et virucide, incluant les bactériophages.

Actalia (Centre technique d’expertise agroalimentaire) a réalisé de nombreux tests portant sur la sécurité des aliments, notamment sur la validation de l’effet bactéricide de la formulation du couple machine/produit fournie par Oxy’Pharm pour la décontamination des surfaces par voie aérienne. Ces tests ont conclu que « Selon la norme NF T 72-281 (2014), dans les conditions testées, la formulation biocide fournie par Oxy’Pharm (Nocolyse food) est bactéricide à un dosage de 3ml/m3 vis-à-vis de Listeria monocytogenes CIP 7838, Salmonella Typhimurium WDCM00031 et Cronobacter sakazakii CIP 57.33 (réduction logarithmique due au traitement supérieur à 5 log) même lorsque le temps de contact est réduit à 1 heure, la température initiale de la salle abaissée à 10°C et les bactéries cibles placées dans des endroits où la diffusion du biocide a été considérée comme moins efficace».