Aller directement au contenu

La Facco et Malteurs de France rejoignent l’ANIA

La Fédération des fabricants d’Aliments pour chiens, Chats, Oiseaux et autres animaux familiers (Facco) et Malteurs de France viennent de rejoindre l’Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA). L’arrivée de ces deux nouveaux adhérents va renforcer le collectif déjà élargi en 2022 par les retours de la Fédération des Entreprises de Boulangerie et de Pâtisserie (Feb) et de la Fédération Nationale …

La Facco et Malteurs de France rejoignent l’ANIA
« Nous souhaitons aujourd’hui gérer l’ANIA comme une marque et nous sommes fiers de l’élargissement de notre territoire de marque. Plus que jamais, nous devons collectivement unir nos forces pour renforcer la compétitivité de la 1ère  industrie de France, sauvegarder nos emplois et préserver la Souveraineté alimentaire et industrielle de notre pays», Jean-Philippe André, président de l’ANIA.

La Fédération des fabricants d’Aliments pour chiens, Chats, Oiseaux et autres animaux familiers (Facco) et Malteurs de France viennent de rejoindre l’Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA). L’arrivée de ces deux nouveaux adhérents va renforcer le collectif déjà élargi en 2022 par les retours de la Fédération des Entreprises de Boulangerie et de Pâtisserie (Feb) et de la Fédération Nationale de Vente et Services Automatiques (Navsa).

Avec ces deux nouvelles adhésions, l’ANIA représente désormais 32 syndicats métiers, 6 membres associés et 17 associations régionales (ARIA). Créée en 1965, la Facco compte 34 adhérents et 39 usines qui représentent 98% de la production et des ventes en France. Plus de 2,4 millions de tonnes d’aliments pour animaux familiers ont été commercialisées en 2021 pour un chiffre d’affaires de 3,9 milliards d’euros.

Créé en 1961, Malteurs de France représente +99% du secteur français. Les 14 malteries implantées en France représentent une capacité totale de production de 1,5 million de tonnes par an. Plus de 80% du malt produit annuellement en France est exporté vers 110 pays à destination de grands brasseurs internationaux ou régionaux.

Un contexte économique extrêmement perturbé pour les entreprises

«L’arrivée de ces deux fédérations est particulièrement importante pour l’ANIA. Elle traduit notre ambition de rassembler et notre volonté de renforcer le dialogue avec tous les secteurs d’activité de l’agroalimentaire dans un contexte économique extrêmement perturbé pour les entreprises. Nous souhaitons aujourd’hui gérer l’ANIA comme une marque et nous sommes fiers de l’élargissement de notre territoire de marque. Plus que jamais, nous devons collectivement unir nos forces pour renforcer la compétitivité de la 1ère  industrie de France, sauvegarder nos emplois et préserver la Souveraineté alimentaire et industrielle de notre pays», Jean-Philippe André, président de l’ANIA.

«Notre mission est d’être le référent de la nutrition des animaux familiers pour garantir la qualité nutritionnelle et sanitaire des aliments qui contribueront à leur bien-être. Aujourd’hui, la pression réglementaire s’accroît sur des sujets transverses comme l’environnement, la taxonomie ou encore les relations commerciales. Ré-adhérer à l’ANIA est stratégique et essentiel pour une fédération comme la Facco. Notre objectif, profiter de l’expertise de l’ANIA et partager notre expérience avec elle pour que notre voix et celle de tous les secteurs agroalimentaires soit entendue et porte dans le débat public.Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin», souligne Aurélie Bynens, Déléguée Générale de la Facco.

«Notre adhésion s’inscrit dans le prolongement de celle à l’IPTA (Industrie de laPremière Transformation Alimentaire) il y a 3 ans. Elle traduit une volonté forte de la part de nos membres de partager les difficultés que nous rencontrons avec les autres membres de l’Ania. Le contexte actuel de la France vis-à-vis du reste du monde crée des distorsions de concurrence qui pourraient mettre en péril le leadership de notre attractivité à travers le monde. Et c’est pourquoi, nous serons particulièrement attentifs, et investis, sur les sujets à forts enjeux pour la malterie que sont l’énergie, notre compétitivité internationale et la poursuite de nos engagements de développement durable», explique Jean-Philippe Jelu, Président de Malteurs de France.

ParLa rédaction
Dossiers Thématiques
Dossiers d’Analyse
En vidéo
Send this to a friend