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Transformation des matières premières, protection des semences, dosage d’additifs, d’arômes et de colorants : Le défi commun de la maitrise des faibles débits

Pour doser de faibles débits de liquides, les opérateurs cherchent un compromis avec l’utilisation d’équipements surdimensionnés, qu’il s’agisse de débitmètres ou de pompes. Ils font alors rapidement face à des problèmes de qualité ou de non-conformité des produits finaux. En effet, la demande croissante pour des liquides de plus en plus concentrés ou des procédés moins encombrants obligent les concepteurs …

Transformation des matières premières, protection des semences, dosage d’additifs, d’arômes et de colorants : Le défi commun de la maitrise des faibles débits
La firme néerlandaise Bronkhorst vient de se démarquer avec l’arrivée de la gamme ES-FLOW, un débitmètre volumique à ultrasons compact, robuste et précis.

Pour doser de faibles débits de liquides, les opérateurs cherchent un compromis avec l’utilisation d’équipements surdimensionnés, qu’il s’agisse de débitmètres ou de pompes. Ils font alors rapidement face à des problèmes de qualité ou de non-conformité des produits finaux. En effet, la demande croissante pour des liquides de plus en plus concentrés ou des procédés moins encombrants obligent les concepteurs de procédés à employer du matériel de régulation et de dosage plus petit. C’est le cas par exemple du dosage d’enzyme ou encore d’arôme alimentaire.

La société Bronkhorst, spécialisée dans la débitmétrie gaz et liquide depuis plus de 40 ans, s’est penchée tout particulièrement sur la débitmétrie liquide de très faibles débits, à partir de 1.5 mg/h jusqu’à 600 kg/h. Fabricant de débitmètres massiques thermiques et Coriolis, ses appareils sont appréciés sur les procédés très exigeants où le retour sur investissement est rapide.

La firme néerlandaise vient de se démarquer avec l’arrivée de la gamme ES-FLOW, un débitmètre volumique à ultrasons compact, robuste et précis. Des débits de 2 à 1500 ml/min peuvent être mesurés à l’aide d’ultrasons générés sur un capteur en forme de tube droit (pas de pièce en mouvement), quelles que soient la densité, la température, ou la viscosité du liquide.

[Illustration ES-FLOW ES-113C + ES-113 + pompe]

Là où les débitmètres à roues ovales subissent l’usure mécanique des pièces en mouvements et les débitmètres électro-magnétiques sont limités par leur seuil de détection dans les faibles débits, le débitmètre à ultrasons ES-FLOW trouve sa place sur les process où les liquides demandent un dosage toujours plus faible et maitrisé, c’est le cas par exemple des fluides décapants ou nettoyants comme de l’acide acétique ou de la soude. Ce débitmètre volumique à ultrasons offre des performances proches de celles d’un débitmètre Coriolis pour un coût 2 à 3 fois moins élevé. Equipé d’une carte électronique numérique, le débitmètre embarque une boucle de régulation PID permettant ainsi le pilotage soit d’une vanne de régulation soit d’une pompe nouvelle ou déjà existante. Ainsi, même si la pompe en place sur le procédé est surdimensionnée, il sera possible de la faire fonctionner à bas débit avec un système de by-pass.

Outre les entrées-sorties analogiques et la liaison standard RS232/USB, l’instrument dispose d’un panel d’interfaces de bus de terrain comme le Profinet, ModBus RTU, ASCII ou TCP/IP, Ethernet /IP, Powerlink et bien d’autres.

En savoir davantage sur le débitmètre volumique ES-FLOW : ICI 

ParLa rédaction
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