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4e plan d’investissements d’avenir (PIA4) : «L’accompagnement par l’Etat à hauteur de 449,5 M€ est un signal fort pour le secteur agroalimentaire»

Lors de la présentation des stratégies d’accélération agricoles et alimentaires du 4e plan d’investissements d’avenir (PIA4) de l’Etat par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie, en présence de Guillaume Boudy, secrétaire général pour l’Investissement, Jean-Paul Torris, 1er vice-président …

4e plan d’investissements d’avenir (PIA4) : «L’accompagnement par l’Etat à hauteur de 449,5 M€ est un signal fort pour le secteur agroalimentaire»
Dans un contexte de déflation que subit le secteur depuis plus de 8 ans, «il est vital de redonner de la valeur à notre alimentation pour que les entreprises puissent investir et relever le défi de l’innovation pour une alimentation toujours plus saine, durable et accessible à tous», estime l’ANIA.

Lors de la présentation des stratégies d’accélération agricoles et alimentaires du 4e plan d’investissements d’avenir (PIA4) de l’Etat par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation, Agnès Pannier-Runacher, ministre déléguée chargée de l’Industrie, en présence de Guillaume Boudy, secrétaire général pour l’Investissement, Jean-Paul Torris, 1er vice-président de l’ANIA, était présent pour porter l’ambition et les engagements des entreprises à devenir demain les leaders mondiaux de l’innovation pour une alimentation durable favorable à la santé.

«L’accompagnement par l’Etat à hauteur de 449,5 M€ est un signal fort pour le secteur agroalimentaire identifié comme stratégique pour l’avenir du pays. Les enjeux sont majeurs pour la souveraineté alimentaire du pays, pour la santé de la population, dont on sait aujourd’hui que l’alimentation y joue un rôle important, et de manière plus globale pour nourrir une population mondiale en très forte croissance sur une planète dont les ressources naturelles se réduisent», a déclaré dans un communiqué de presse l’Ania, Association Nationale des Industries Alimentaires, qui entend rester très impliquée dans le suivi et le développement des projets et à continuer à sensibiliser l’ensemble de ses 15 000 entreprises dont la majorité sont des PME.

Un contexte de déflation

«Au-delà des enjeux sociétaux, l’investissement de l’Etat sur ces marchés en forte croissance au niveau Mondial est une opportunité pour le secteur agroalimentaire français, première industrie du pays, de renforcer sa compétitivité et de redevenir un leader à l’export. Enfin, en s’appuyant sur les nouvelles technologies et le numérique, les entreprises ont entamé une profonde transformation de leurs outils de production qui nécessitent de nouvelles compétences de leurs salariés et participera demain à modeler l’Usine alimentaire du Futur qui pourra attirer notamment les jeunes vers les métiers du secteur agroalimentaire», souligne l’Ania pour qui, dans un contexte de déflation que subit le secteur depuis plus de 8 ans, «il est vital de redonner de la valeur à notre alimentation pour que les entreprises puissent investir et relever le défi de l’innovation pour une alimentation toujours plus saine, durable et accessible à tous».

ParLa rédaction
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