Doux, de nouvelles offres pour Graincourt et Blancafort ?
Alors que l’offre iranienne pour le site de Graincourt-lez-Havrincourt a été abandonnée, on apprenait vendredi qu’une autre piste était envisagée. En effet, l’usine de l’entreprise agroalimentaire Doux pourrait bien intéresser un groupe ukrainien spécialisé dans la volaille, mais inconnu en France : MPH.

Alors que l’offre iranienne pour le site de Graincourt-lez-Havrincourt a été abandonnée, on apprenait vendredi qu’une autre piste était envisagée. En effet, l’usine de l’entreprise agroalimentaire Doux pourrait bien intéresser un groupe ukrainien spécialisé dans la volaille, mais inconnu en France : MPH.
Côté à la bourse de Londres, ce géant de la volaille ukrainien se serait déjà intéressé à la reprise du groupe Doux il y a quelques semaines. Parmi les différentes offres de reprise déposées pour le pôle frais de Doux, le site de Graincourt, un des deux principaux sites pour le frais, ne fait actuellement l’objet d’aucun projet. D’après France 3 Nord Pas-de-Calais, on devrait en savoir plus lundi soir.
Autre bonne nouvelle pour les salariés du pôle frais de l’industriel de l’agroalimentaire Doux, une offre a été déposée pour l’abattoir de Blancafort (244 emplois), l’autre site délaissé par les offres de reprise déposées le 10 août dernier.
C’est Glon Sanders associé à Duc, qui a déposé cette offre. Nadine Hourmant, la déléguée centrale FO du volailler Doux, a expliqué que les deux industriels de l’agroalimentaire avaient fait une offre de reprise préservant 130 emplois dans le cadre d’une location/gérance sur deux ans à l’issue desquels ils promettent de conserver au minimum 60 CDI.
Des offres ont aussi été améliorées, pour le site de Boynes (Loiret) avec 5 CDI de plus, comme pour le site de Sérent (Morbihan), après l’abandon de l’offre de la société Tallec, qui projetait de reprendre 152 des 159 salariés.
Pour Sérent, Duc propose de reprendre 127 CDI (contre 101 dans l’offre initiale). LDC propose de reprendre 60 CDI (contre 55 précédemment) tout en prévoyant le transfert de 55 CDI sur des sites situés à moins de 20 km et des embauches sur d’autres sites du groupe.
Le tribunal de commerce de Quimper doit examiner mercredi ces offres de reprise partielles “améliorées”.
Un jugement est attendu pour vendredi, ou, au plus tard, lundi 10 septembre, date d’expiration de la poursuite poursuite d’activité fixée lors de la liquidation de ce pôle le 1er août.
Source : agro-media.fr avec AFP et France 3 Nord Pas-de-Calais

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