Excédent agroalimentaire, les produits français se portent bien à l’étranger.
Les exportations agricoles françaises se portent plutôt bien. En effet, c’est ce que les données de l’institut statistique du monde agricole Agreste affichent pour le mois d’octobre.

Les exportations agricoles françaises se portent plutôt bien. En effet, c’est ce que les données de l’institut statistique du monde agricole Agreste affichent pour le mois d’octobre. Avec 1 405 millions d’euros, l’excédent des échanges en produits agricoles est en hausse par rapport au mois d’octobre 2010.
Et cet excédent est en hausse autant avec le reste de l’Union européenne (+207 millions d’euros) qu’avec les pays tiers (+19 millions d’euros). Sur l’année, l’excédent cumulé atteint 9,38 milliards d’euros, en hausse de 54% (+3,31 milliards d’euros) par rapport à 2010. Agreste donne les explications suivantes pour expliquer cette bonne progression des produits agricoles français :
« La hausse des importations, pourtant importante (+ 305 millions d’euros), est largement compensée par celle des exportations (+ 676 millions d’euros). Avec les pays tiers, l’excédent en octobre atteint 739 millions d’euros, en hausse de 164 millions par rapport à octobre 2010. Les ventes de boissons alcoolisées continuent à contribuer fortement à la croissance des exportations. Les exportations de céréales progressent : l’orge et le blé dur compensant largement la baisse du blé tendre.
Les exportations de bovins augmentent grâce à la demande turque, ainsi que celles de viande porcine (Asie et Russie) et de viande de volaille (Moyen-Orient). Les importations des produits de la pêche augmentent (+ 25 %), ainsi que celles de tourteaux et de caoutchouc.
Avec l’Union européenne, l’excédent en octobre atteint 666 millions d’euros, en hausse de 207 millions d’euros. Les exportations progressent de 331 millions d’euros. Le maïs, dont la récolte a été plus précoce que l’an dernier, explique un quart de cette croissance.
Les exportations de blé tendre, ainsi que le colza, sous forme de graines ou d’huile, continuent de progresser. Les importations de blé tendre, de colza et de melons diminuent tandis que celles de tournesol augmentent.
Pour les produits transformés, les importations de viandes bovines et de volailles progressent, ainsi que celles de café transformé.
L’excédent cumulé depuis le début de l’année atteint 9 386 millions d’euros, en hausse de 3 311 millions (+ 54 %) par rapport aux dix premiers mois de 2010, grâce principalement à l’excédent en céréales (+ 44 %) et en boissons (+ 13 %). »

Dans le cadre de la loi du 8 novembre 2019 relative à l’énergie et au climat, la France s’est fixé comme objectifs de …

Dans le cadre de ses engagements en faveur d’emballages circulaires, Mars Wrigley France lance un projet pilote d’éco-conception de son pochon M&M’s Choco …
Alternatives, innovations et formulation responsable : Comment répondre aux nouvelles attentes ?
Alors que les attentes des consommateurs évoluent vers une alimentation perçue comme plus naturelle, plus saine et plus transparente, les additifs alimentaires sont …
Additifs alimentaires : Entre révisions, retraits et controverses récurrentes
Loin d’être utilisés librement, les additifs alimentaires sont soumis à un encadrement réglementaire parmi les plus rigoureux du secteur agroalimentaire. En Europe comme …
Additifs alimentaires : Des fonctions techniques indispensables à la formulation moderne
Colorants, conservateurs, texturants ou encore exhausteurs de goût : les additifs alimentaires font partie intégrante de la formulation des produits agroalimentaires transformés. Derrière …

La rentrée 2025 s’ouvre sur un paradoxe bien connu mais toujours plus marqué : d’un côté, une inflation alimentaire encore présente, qui continue …

Longtemps perçue comme un sujet réservé aux secteurs stratégiques comme la défense ou la finance, la cybersécurité s’impose désormais comme une préoccupation majeure …
Produits aquatiques : Un attrait confirmé, mais un positionnement de plus en plus complexe pour le marché français
Malgré une excellente image auprès des consommateurs français, la consommation de poissons, coquillages et crustacés révèle un arbitrage économique plus marqué qu’auparavant. L’enquête …
Marché du miel en France : Entre regain de confiance, guerre des prix et bataille pour la traçabilité
Après des années de crise, la filière apicole française reprend lentement des couleurs. Les Français consomment toujours du miel, mais deviennent plus sélectifs, …
Mieux sécuriser votre production en optimisant la traçabilité alimentaire
La chaîne agroalimentaire doit aujourd’hui garantir aux consommateurs une alimentation sûre, conforme et transparente, de la fourche à la fourchette. Dans ce contexte, …
Connectez-vous avec vos réseaux sociaux :