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La cession de la filiale porcine de Gad-Cecab ne semble plus être à l’ordre du jour.

Gad-Cecab souhaitait vendre sa filiale industrielle porcine comme nous vous l’annoncions dans notre article du 7 septembre dernier pour se concentrer sur d’autres activités.

Gad-Cecab souhaitait vendre sa filiale industrielle porcine comme nous vous l’annoncions dans notre article du 7 septembre dernier pour se concentrer sur d’autres activités. Après avoir refusé les offres de deux repreneurs potentiels à savoir Bigard et Cooperl Arc Atlantique, les déclarations de personnes proches du dossier obtenues par Le Télégramme nous indiquent que l’idée de cession a été quasiment abandonnée.

En effet, après le refus des deux offres citées précédemment, aucun autre repreneur potentiel ne s’est intéressé au projet de rachat des deux abattoirs bretons. La SVA s’est dans un temps intéressée au dossier mais n’a jamais déposé d’offre. Le groupe va donc reprendre l’exploitation de ses abattoirs dans l’attente d’un repreneur. Parmi les responsables de la Cecab, on déclare : « Nous sommes partis dans une nouvelle logique et dans la durée. De toute façon, une éventuelle cession n’est pas envisageable en 2011 ». Si le projet semble abandonné pour le moment, l’idée d’une cession n’est pas tout à fait oubliée.

Les sociétés ayant fait des offres restent toujours intéressées, ainsi Emmanuel Commault PDG de Cooperl Arc Atlantique indique : « Nous n’avons pas changé de position, nous restons intéressés, mais la filiale porcine d’abattage de la Cecab n’est plus à vendre semble-t-il ». Des rumeurs concernant des groupes porcins d’Europe du Nord qui seraient intéressés par ce rachat circulent, bien que la Cecab préfère réaliser cette cession avec un acteur local

ParLa rédaction
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