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Réseaux sociaux : Stratégie digitale et e-reputation des acteurs de l’agroalimentaire

Depuis 2006 et le lancement de Facebook, les réseaux sociaux ont pris une place à part entière dans la vie des consommateurs. Tous les secteurs d’activité ou presque sont concernés par ces nouveaux comportements. Pourtant, les géants de l’agroalimentaire ont encore du mal à prendre ce média en considération. 

Depuis 2006 et le lancement de Facebook, les réseaux sociaux ont pris une place à part entière dans la vie des consommateurs. Tous les secteurs d’activité ou presque sont concernés par ces nouveaux comportements. Pourtant, les géants de l’agroalimentaire ont encore du mal à prendre ce média en considération.

 

Une histoire d’e-réputation

Les consommateurs sont de plus en plus nombreux à partager leur « repas virtuel » avec leurs amis (sur Facebook) ou leurs followers (sur Twitter), sans oublier Instagram (réseau social uniquement dédié aux visuels).

 

Un véritable culte de l’assiette se développe, surtout au sein de l’hexagone où la nourriture est une religion. Notons que les blogs dédiés à cette thématique fleurissent en permanence, un réseau tentaculaire est déjà en place sur le web.

 

Ces posts, ces articles ou ces photos sont très généralement accompagnés de commentaires sur certains produits, bien évidemment les marques sont citées et le bad buzz (décrié une marque, un  produit, etc…) peut rapidement intervenir, l’ère du Social Food est née.

 

Les géants de l’agroalimentaire doivent d’adapter au digital

Toutefois, aucune raison de s’inquiéter pour les professionnels du secteur, tant que ceux-ci s’adaptent. A ce jour, les marques participatives à la communauté web des gastronomes 2.0 sont encore peu nombreuses, même si certaines jouent le jeu à fond.

 

L’idée est de contrôler, a minima, l’information qui sera diffusée sur ses produits en proposant des partenariats avec les sites professionnels, en proposant des échantillons aux blogueurs influents, en proposant des exclusivités aux membres d’une page (page J’aime sur Facebook par exemple).

 

Puisque les internautes vont parler d’une marque donnée (cela est inévitable), il faut jouer le jeu plutôt que de rester muet par peur de manquer d’expérience et de connaissance.

 

Nouer ces relations avec les acteurs du web est important pour mieux comprendre leurs besoins et leurs attentes. Dans le cadre d’une stratégie web bien définie, les réseaux sociaux sont à explorer, le phénomène est en route…

ParLa rédaction
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