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Sécurité sanitaire des aliments : L’Anses propose un outil pour hiérarchiser les dangers chimiques et biologiques

De la fourche (production puis transformation de l’aliment) à la fourchette (consommation), les aliments que nous consommons peuvent être contaminés par divers agents chimiques et biologiques et ainsi présenter un risque pour notre santé. Pour aider les gestionnaires du risque à optimiser la sécurité des aliments que nous consommons, l’Anses a élaboré une méthodologie de hiérarchisation de ces dangers …

Sécurité sanitaire des aliments : L’Anses propose un outil pour hiérarchiser les dangers chimiques et biologiques
Pour aider les gestionnaires du risque à optimiser la sécurité des aliments que nous consommons, l’Anses a élaboré une méthodologie de hiérarchisation de ces dangers afin d’optimiser la sécurité sanitaire des aliments.

De la fourche (production puis transformation de l’aliment) à la fourchette (consommation), les aliments que nous consommons peuvent être contaminés par divers agents chimiques et biologiques et ainsi présenter un risque pour notre santé. Pour aider les gestionnaires du risque à optimiser la sécurité des aliments que nous consommons, l’Anses a élaboré une méthodologie de hiérarchisation de ces dangers afin d’optimiser la sécurité sanitaire des aliments.

Orienter les moyens à engager

«Avant d’engager les actions de prévention en matière de sécurité sanitaire des aliments, il est nécessaire de hiérarchiser les dangers chimiques et biologiques pouvant contaminer nos aliments et de prioriser les situations à risque (couples aliment-danger présentant le plus de risque)», explique l’Agence. «L’outil d’aide à la décision proposé permet d’orienter les moyens à engager pour mieux surveiller et prévenir la contamination de nos aliments. Après avoir été testé sur un certain nombre de dangers, cet outil a désormais vocation à être déployé à plus grande échelle», explique l’Anses qui a donc créé un outil de hiérarchisation sanitaire multi-dangers et multi-aliments en procédant par étape.

«Au regard du nombre considérable de données disponibles et de combinaisons couples aliment-danger possibles, l’Agence a testé à travers un nombre limité de dangers et de couples aliments-dangers, la mise en application et le potentiel de cet outil tant pour le volet chimique que biologique» explique l’Agence qui recommande désormais de déployer la méthodologie élaborée à l’ensemble des dangers et couples aliment-dangers identifiés. L’objectif étant de construire une base de données pérenne et de déployer la méthodologie élaborée dans le cadre de partenariats nationaux et internationaux.

ParLa rédaction
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