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Un nouveau supporter italien inattendu.

Concernant l'affaire Parmalat, Bruno Le Maire a affirmé mardi 12 avril 2011 que l’on « peut parfaitement comprendre la réaction italienne. C'est à nous du côté français de donner un certain nombre de garanties et d'assurances sur le fait que ce rapprochement permettra

Concernant l’affaire Parmalat, Bruno Le Maire a affirmé mardi 12 avril 2011 que l’on « peut parfaitement comprendre la réaction italienne. C’est à nous du côté français de donner un certain nombre de garanties et d’assurances sur le fait que ce rapprochement permettra le développement de l’emploi et de la richesse également en Italie ». Ainsi, sans jamais l’avoir nommé, il a exhorté le groupe Lactalis à faire preuve de pédagogie, soucieux des bonnes relations franco-italiennes. Il faut dire que le géant français a une réputation de « pirate ». Ainsi, d’après Les Echos, « ses méthodes de flibustier effrayent, ainsi que ses discours à l’emporte-pièce sur l’archaïsme des syndicats ou l’inutilité des coopératives ». L’Etat français ne souhaite pas prendre part à cette affaire, comme l’a illustré Nicolas Sarkozy, qui a botté en touche lorsqu’il a été interrogé sur le sujet le 25 mars 2011 à Bruxelles : « bravo, 1-0 pour l’Italie, vous m’avez eu, c’est incontestable. Vous m’avez posé une colle. Je n’ai pas de position parce que je connais très mal et j’aurais peur de dire une bêtise (…) Je n’ai pas travaillé assez ».

ParLa rédaction
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