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Solutions logicielles : Pour sa certification IFS, William Saurin a choisi Corim Progress

William Saurin, société agroalimentaire française fondée en 1898 et spécialisée dans la fabrication de plats cuisinés, possède cinq usines en France, dont deux usines équipées de la GMAO Corim Progress sur une base de données centralisée. M. Salgues, pour le site de Saint-Thibault-des-Vignes et M. Pezin, sur le site de Pouilly-sur-Serre, tous deux administrateurs de Corim Progress, ont rapporté …

Solutions logicielles : Pour sa certification IFS, William Saurin a choisi Corim Progress
Corim Progress a permis à William Saurin d’améliorer la traçabilité grâce à la production de documents et de certificats d’alimentarité.

William Saurin, société agroalimentaire française fondée en 1898 et spécialisée dans la fabrication de plats cuisinés, possède cinq usines en France, dont deux usines équipées de la GMAO Corim Progress sur une base de données centralisée.
M. Salgues, pour le site de Saint-Thibault-des-Vignes et M. Pezin, sur le site de Pouilly-sur-Serre, tous deux administrateurs de Corim Progress, ont rapporté leur expérience dans le cadre de leur dernier audit IFS (International Food Standard), un référentiel d’audit, mis en place par la grande distribution pour garantir notamment la sécurité des aliments et la qualité de la production des aliments.

«Nous centralisons tous nos supports numériques dans la GMAO»

«Corim Progress nous a permis d’améliorer la traçabilité grâce à la production de documents et de certificats d’alimentarité. Nous rattachons les documents PDF à la volée, nous sommes plus efficaces à tous niveaux, en terme de travail, de résultats. Avant, nous avions des classeurs et des supports papier, maintenant nous centralisons tous nos supports numériques dans la GMAO. Ceci est valable pour les articles et pour les gammes de maintenance préventive. En effet, dans le cadre de la norme IFS à laquelle nous sommes tenus de répondre, tout est concerné : les articles stockés, les actions menées par la maintenance, tout ce qui transite dans la GMAO doit être tracé », explique M. Salgues.

Rapidité de l’information

« L’auditrice nous demande toutes les interventions qui ont été réalisées sur un équipement, tout ce qui est à faire, en cours, tout ce qui est déclenché au niveau du préventif, il faut vraiment avoir une trace dans la GMAO. La GMAO est un outil central pour la maintenance. Ce qui est bien c’est que nous pouvons joindre 1, 2, 3, 4 documents sur les articles…. Par exemple, sur une graisse en aérosol, l’auditrice peut nous demander la fiche technique, la fiche de sécurité et le certificat d’alimentarité. Pour eux, ce qui est important c’est le certificat NFS. Chez nous, tout est lié, si vous prenez un code article d’une graisse alimentaire lambda vous trouverez les documents : fiche technique, fiche de sécurité, certificat NFS. Nous l’avons sous forme papier car c’est obligatoire en interne, mais c’est via la GMAO qu’ils sont stockés et consultés directement. » explique de son côté M. Pezin.

Identifier facilement les articles

Pour distinguer les articles ou les pièces qui peuvent être en contact avec l’alimentaire, les deux administrateurs ont mis en place des consignes de sécurité sur les équipements qui apparaissent également sur les éditions d’impression. « Aussi, grâce à l’utilisation de critères discriminants comme les attributs, nous sommes capables de facilement identifier les articles et de retrouver les interventions pour lesquelles nous utilisons des articles en contact avec l’alimentaire. Nous avons notamment renseigné dans CORIM Progress tous les certificats pour les lubrifiants et donc identifié les articles stockés avec des contraintes alimentaires. »
M. Pezin explique de son côté que «sur le site de Pouilly, nous avons mis en place un moyen pour rechercher les pièces qui demandent un certificat d’alimentarité. J’ai créé en attribut « ANIA », qui est rapproché de tous les articles qui nécessitent un certificat d’alimentarité ; il suffit de saisir « ANIA » dans une zone de recherche rapide pour obtenir la liste des pièces concernées. » Concernant le déroulement de la certification IFS, M. Salgues explique que :  » Pour préparer l’audit IFS, nous avons modifié nos pratiques : par exemple, à la réception d’articles susceptibles d’être en contact avec l’alimentaire, nous avons la possibilité de joindre le certificat correspondant. Nous recevons un article, si cet article a un certificat, même s’il s’agit d’un achat direct, nous pouvons joindre le certificat de l’article sur la demande d’achat, la commande… »

Réactivité du logiciel

M. Pezin : « L’auditrice a repéré des bancs ou des élévateurs, par exemple, et nous a demandé les certificats d’alimentarité de la bande élévatrice n°5, par exemple, sur la ligne x. Nous archivions tous les documents dans des classeurs au format papier, et depuis 2 ou 3 ans nous les avons dans la GMAO. D’une manière générale, l’audit porte surtout sur les gammes de maintenance préventive. Par exemple, nous avons acquis une nouvelle machine en 2014, nous faisons des tubes de sauce tomate, et forcément toutes les questions portaient sur cet équipement. Nous lui avons montré tous les certificats d’alimentarité de tous les composants ainsi que la gamme préventive de cet équipement depuis que nous l’avons acquis. » Résultat : « Nous avons obtenu notre certification IFS avec une note supérieure. Pour en avoir discuté avec l’auditrice, son retour d’expérience sur les GMAO était plutôt mitigé. Et finalement, elle a été très satisfaite de notre GMAO, elle a été très agréablement surprise par la manière dont c’était organisé et la réactivité de notre logiciel. CORIM Progress a été un très bon point auprès du cabinet d’audit » explique l’administrateur du site de Saint-Thibault-des-Vignes.  » Durant un audit, on nous demande énormément le préventif sur les équipements neufs et sur les équipements à cas critiques notamment pour la HACCP. Egalement, au niveau du parc équipement, il suffit d’aller sur la ligne et de cliquer dans « Documents » pour accéder directement au certificat d’alimentarité. C’est un gain de temps au niveau de la recherche et l’auditrice était très satisfaite, ça répondait exactement à sa demande. La GMAO contribue énormément à l’obtention du certificat IFS. » conclut l’administrateur du site de Pouilly-sur-Serre. (Source Corim/William Saurin)

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ParLa rédaction
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