La Brasserie Mélusine poursuit ses investissements
Brasserie artisanale française née en 2001 à Chambretaud dans le bocage vendéen à 5 km du célèbre Parc du Puy du Fou, avec une production de 15 000 hl par an, la Brasserie Mélusine emploie 17 salariés et fabrique exclusivement des produits artisanaux et 100% naturels. Elle brasse plus de 16 bières différentes, une gamme Bio et une gamme conventionnelle. …

Brasserie artisanale française née en 2001 à Chambretaud dans le bocage vendéen à 5 km du célèbre Parc du Puy du Fou, avec une production de 15 000 hl par an, la Brasserie Mélusine emploie 17 salariés et fabrique exclusivement des produits artisanaux et 100% naturels. Elle brasse plus de 16 bières différentes, une gamme Bio et une gamme conventionnelle.
Dans l’optique de se moderniser, la Brasserie a passé sa capacité à une production possible de 40 000 hl annuel. Pour réussir la transition de son nouvel outil de production, une logistique millimétrée s’est mise en place : agrandissement des locaux, changement de la cuverie, de la station de brassage, de l’enfûteuse et de la ligne d’embouteillage.
Réduction de l’impact énergétique
Avec ce nouvel outil, la Brasserie Mélusine a réduit son impact énergétique, sa consommation en eau et gère mieux ses déchets. En 2018, 7.52 litres d’eaux usées générées étaient ainsi rejetés pour 1 litre de bière fabriqué et passe maintenant à 4.60 litres soit 38% d’eaux usées générées en moins par litre de bière produit.
Plus de 5 millions de litres d’eaux économisés pour 15 000hl de bières produits cette année. 15 000 hl produits représentent une économie de 3800 kg de propane soit 25% de gaz consommé en moins par litre de bière. 100 000 litres de levure liquide et 120 000 litres de TRUB (décantation de moût de bière) partent désormais pour l’alimentation animale au lieu d’être envoyés aux égouts.
En 2020, la Brasserie Mélusine poursuit ses investissements avec l’arrivée de nouvelles cuves de fermentation plus grandes, d’une contenance de 80hl. (le double des précédentes), l’équipement d’un générateur d’azote afin de ne plus rejeter de CO2 dans l’atmosphère et ainsi diminuer l’empreinte carbone en produisant un bilan neutre.
Il est également question de la création d’une station d’épuration qui réduira encore l’impact des rejets (concentration des eaux usées divisées par 4) ainsi que de l’envoi des boues organiques générées en méthanisation, par des actions naturelles bactériennes qui permettront de fabriquer du biométhane qui sera par la suite injecté dans le réseau de gaz de ville.

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